Le secret des Enfants-Rouges

Lisant une lettre de Iris, La fille de kenji Mori son patron, Joseph le commis ne fait pas attention a la personne qui dépose une carte de visite pour Mr Mori vu que celui-ci est absent. Malencontreusement le bristol se retrouve dans le fond d’un porte parapluie. Dans la foulée, Victor associé de kenji, découvre que l’appartement de celui-ci a été dévasté et cambriolé de toute évidence. Mais le voleur n’a pas emporté grand-chose, deux ouvrages rares et une coupe qui ne recèle qu’une valeur sentimentale. Pourquoi avoir laisser les estampes et les pièces de prix dans l’appartement et n’avoir pris que ces trois babioles ? La coupe avait été léguée à Kenji par un ami écossais dont la sœur vit encore en Ecosse. Or, coïncidence bizarre celle-ci vient d’être la victime d’un rôdeur. Chacun de leur côté, puis conjointement, les trois compères vont enquêter à la poursuite, de cette coupe qui semble être la clé de l’énigme. Le parcours semé de cadavres, va les conduire de place en place jusqu’à la foire à la ferraille, marché de la brocante, à la Bastille.

Mon avis :
La quatrième enquête du bouquiniste Victor Legris et de son employé Joseph, s’avère tout aussi passionnante que les précédentes mais avec toutefois une déception. Le titre ne colle pas du tout a l’intrigue. Je n’ai pas bien compris d’ailleurs pourquoi ce titre. Mais hormis ce petit couac, je suis et reste une fidèle lectrice. C’est aussi toujours un enchantement de lire les descriptions littéraire, artistique, culturelle, d’un Paris qui enchante par exemple et tous ceux qui habitent ou ont résidé dans la capital.

je reponds peut-être à coté, mais les "enfants rouges" designaient au 19é siecle les orphelins, et ill ya à paris une rue des enfants rouges. Hugo la fait intervenir dans les miserables